Sciera Tanaka - Loin d'être une simple humaine...

Nom : Tanaka

Prénom : Sciera

Âge : Sciera ne connaît pas son âge; mais elle a l'apparence d'une jeune femme de 17 – 20 ans...

Date et lieu de Naissance : Inconnus

Genre : Humain

Grade : Lunatique

Description des pouvoirs / armes : Comme tout combattant, Sciera possède une arme; mais à la différence des autres combattants elle est incapable de l'utiliser. Sciera a perdu tout souvenir de cette arme, y compris le nom de celle-ci, et serait incapable de vous dire si elle a su s'en servir par le passé. Mais le fait est qu'aujourd'hui elle est actuellement incapable de combattre avec et il est impossible d'affirmer avec certitude qu'un jour elle en sera capable. Elle sait juste que l'objet qu'elle considère comme une arme pourrait avoir un lien avec son passé. Objet qui consiste en une plaque de fer d'une épaisseur d'environ 5mm et possédant une fente de 3mm x 2cm, dessinant la forme d'un soleil dont les rayons seraient incurvés vers l'arrière. Elle la porte toujours sur elle, généralement sous forme de broche. Il lui arrive de parler à ce morceau de métal, mais comme vous vous en doutez cela n'a pas le résultat escompté.

Description Physique : En voyant Sciera, la première chose que l'on remarque est son visage qui exprime une tristesse infinie. Tous les traits de son visage sont relâchés, et ses yeux à moitié clos, un peu comme si elle était dans un état de somnambulisme avancé. Ses yeux marrons sont perpétuellement dilatés et semblent vides, comme si son âme avait été arraché de son corps avec violence. La rumeur court que son petit-ami l'aurait quitté d'une façon terriblement cruelle, ce qui l'aurait laissée dans un état de vide; mais la vérité est bien différente... Sa tristesse est dû à sa sensation de non-appartenance à ce monde; elle avait l'impression d'appartenir à un lieu lointain, et que la seule façon pour elle d'exister était de rejoindre à nouveau ce monde. Le contraste entre sa peau pâle et ses longs cheveux couleur charbon rajoutent une touche de sombre à son visage. Lorsqu'elle marche, Sciera ne peut s'empêcher d'avoir le regard dirigé vers le sol, comme si tout le malheur du monde reposait sur ses épaules et la forçait à baisser sa tête pour que son cou ne se brise pas. Son nez concave est en diapason avec ses lèvres moyennement fines. Lèvres pâles, comme décolorées par les quelques larmes que l'on voit parfois couler le long de ses joues et dont la course se finit bien souvent sur ses lèvres. Sa silhouette est svelte, et ses courbes attirantes. Malgré des seins assez attirants, peu d'hommes osent s'aventurer près d'elle, probablement à cause de la réputation qui la précède, ou bien à cause de sa nonchalance et de sa façon de répondre...

Description Morale : Perdue... C'est le meilleur des qualificatifs que l'on pourrait employer pour la désigner. Elle ne se rappelle plus de rien, ni de qui elle est, ni de ce qu'elle a pu être... Ce qui lui fait le plus peur, ce n'est pas qui elle est actuellement, mais plutôt ce qu'elle a pu être dans le passé... Et à cause de cela elle a du mal à communiquer avec les gens qui l'entoure, de peur que ceux-ci se souviennent d'elle comme d'une mauvaise personne. A cause de cette phobie, il lui arrive souvent de s'enfermer dans un mutisme complet et de ne plus répondre à qui que ce soit, fut-ce même un voyageur égaré qui chercherait son chemin. Souvent, il lui arrive d'errer des heures durant dans les rues de la ville, que ce soit de nuit ou de jour, ne prêtant aucune attention à ce qui l'entoure, mais se contentant de marcher droit devant tout en étant perdue dans ses pensées. Lorsqu'il lui arrive de s'adresser à une autre personne, elle le fait aussi naturellement que possible : c'est à dire avec un air absent, comme si ele prenait la personne de haut et que son existence ne signifiait rien à ses yeux. A cause de cette incapacité à communiquer, elle a hérité de nombreux surnoms tels que "Alien" ou encore "La Femme Transparente"...

Histoire : Douleur... C'est avec peine qu'elle s'évaillait lentement de ses songes... Plus aucun de ses sens ne répondait, c'était comme si son âme avait été séparé de son corps... Elle n'entendait ni ne sentait ce qui l'entourait... mais elle savait qu'elle était éveillée... Elle tentait de faire usage de ses membres supérieurs. Peut-être bougeaient-ils, mais elle était incapable de les sentir... Elle avait l'impression d'être séparé du monde par un voile de diamant aussi lisse que de la soie... Elle savait qu'il était là, quelque part, elle savait qu'elle existait, mais ce voile l'empêchait d'accomplir un quelconque mouvement ou de ressentir ne serait-ce que de la douleur... Ou bien... Peut-être n'était-elle pas connecté à ce monde... Non! Elle savait qu'il était quelqu'un! Mais qui..? Elle ne se souvenait plus de rien, et tant qu'elle n'avait pas repris possession de son corps, ses souvenirs resteraient enfoui dans une boite en adamante jalousement gardée... Elle était enfermée dans un monde où seul retentissait le silence, dans sa douleur la plus sauvage qui soit... Un silence qui la déchirait et qui le rongeait en même temps... Un oiseau! Elle jurait avoir entendu le piaillement d'un oiseau! Un son si insignifiant, si agaçant, si inutile... Mais c'était un son qui venait de la faire sortir de son coma. Elle pouvait entendre le bruissement des feuilles sèches, un son si lointain et si proche à la fois... Ses oreilles bourdonnaient, comme si quelqu'un venait de faire éclater un pétard à l'intérieur même de celles-ci... Elle ne supportait pas ce son strident qui lui déchirait l'oreille interne... Elle aurait encore préféré rester à jamais enfermé dans le silence que d'avoir à subir cette torture. Elle avait l'impression que cet oiseau qui l'avait réveillé s'était dédoublé et qu'ils criaient tous ensemble, dans le seul but de la faire souffrir.

Assez!

Elle venait de se réveiller en sursaut. Ses pupilles endolories par le sommeil étaient dilatées et semblaient fixer un point inexistant qui se trouvait en face d'elle... La chambre était grande, et peinte entièrement en blanc. Pas de fenêtres, pas de portes, seulement des murs. Le sol était un carrelage de blanc cassé et de blanc immaculé. Il n'y avait aucune issue... Ses yeux scrutaient chaque recoin de la "pièce" mais il n'y avait aucun endroit d'où elle pourrait s'échapper; et une question lui vint à l'esprit : comment avait-elle fait pour entrer dans cet endroit? Elle tenta de serrer ses poings pour savoir si elle avait vraiment retrouvé l'usage de son corps, mais ceux-ci refusaient de répondre. Ses mains étaient allongées sur un drap blanc étalé à même le sol, elle semblait avoir passé sa nuit sur ce "matelas" de fortune. A l'endroit où elle avait reposé sa tête se trouvait une petite mare de sang; son sang. D'où pouvait-il venir? Dans un effort désespéré elle réussit à soulever une main et à le porter à son visage. Le sang provenait de son nez, d'où s'en échappait un mince filet. A la vue du sang sur sa paume, sa tête se mit à tourner et elle s'évanouit quelques secondes plus tard...

[...]

Réveil... Encore... Cette fois-ci elle avait repris pleine possession de son corps, et ses membres lui répondaient parfaitement. Où pouvait-elle être? Le sol carrelé ainsi que le drap blanc avaient disparus, et elle était à présent dans une petite chambre de fille, allongée sur un lit... Murs rosés, rideaux roses, posters de chanteuses et chanteurs connus. Ce lieu lui rappelait vaguement quelque chose, mais quoi? Peut-être était-ce là sa chambre, ou bien celle d'une personne qu'elle connaissait... ou pas... Elle n'avait plus aucun souvenir de ce lieu, simplement la sensation de le connaître d'une façon ou d'une autre. Qui pouvait-elle bien-être? Elle ne se souvenait plus de rien... Ni de son nom, ni de son passé... Elle avait peut-être retrouvé l'usage de son corps, mais sa mémoire était encore floue, pour ne pas dire inexistante... Elle se leva; rester allongé ne résoudrait rien et ne l'aiderait pas à retrouver la mémoire. Elle avait l'impression que dans chacun de ses membres rampaient des millions de minuscules fourmis. Elle avait du mal à se tenir correctement debout et à marcher droit... Lorsqu'elle souleva son poignet, celui-ci retomba, provoquant une intense douleur chez elle; et elle comprit alors pourquoi elle avait du mal à se tenir droit : ses muscles s'étaient atrophiés.

Elle n'avait toujours pas retrouvé son nom et il fallait qu'elle en trouve un avant de sortir dans la rue. Le salon était assez grand; et un immense candelabre était perché au dessus d'une table en marbre. Elle s'était visiblement retrouvée dans une maison de riches, mais peu importe combien elle criait, personne ne venait. Peut-être était-elle la maîtresse de ces lieux et qu'elle avait renvoyée tous ses domestiques... Encore une fois, la question de qui elle pouvait être revint... Sur la table était posé une brochure pour des escales touristiques au Sierra Leone. Très beau nom... Et si elle décidait de s'appeler Leone? Non, c'était un peu ringard... Sierra? Ça sonnait bien... Mais peut-être un peu trop classique. Et pourquoi ne pas modifier un peu les lettres pour garder le même son mais donner une originalité au sien? Sciera... Ce prénom lui convenait! Elle fouilla le reste de la brochure, mais ne trouva aucun autre nom qu'elle aurait pu utiliser comme nom de famille. Elle continua son chemin dans la demeure... Elle visita chaque pièce, chaque chambre, chaque anti-chambre... Il n'y avait rien dans cette demeure qui pouvait l'aider à se rappeler de quelque chose. Et elle n'avait pas non plus trouvé de nom...

[...]

Peut-être trouverait-elle des éléments de son passé à l'extérieur. Elle se dirigea vers la sortie, et alors qu'elle allait ouvrir la porte, elle remarqua une pochette de DVD posée sur une petite table. Un film qu'elle n'avait visiblement pas loué... Tia Tanaka - Nuit de Folie... Les images suffirent amplement à la dégoûter et elle reposa le DVD à l'endroit où elle l'avait trouvé. Au moment de sortir, elle retourna sur ses pas et se saisit à nouveau du DVD. Tanaka... Même s'il s'agissait du nom d'une actrice peu recommandable, elle aimait bien ce nom. Et pourquoi ne pas l'emprunter? Sciera Tanaka... Ce serait son nouveau nom jusqu'à ce qu'elle retrouve le sien. Elle sortit, déterminée à retrouver son identité.

Grade Souhaité : Pour le moment, simple humain

Test RP : (Test RP qui correspond aussi à la suite de son histoire, mais aussi au début du premier post)

Malgré le fait que le manoir semblait bien entretenu et qu'il n' avait aucune poussière sur les meubles, la porte d'entrée grinçait en émettant un son des plus stridents et angoissants, comme si elle n'avait pas été graissée depuis plusieurs siècles déjà... Sciera s'arrêta un instant à l'entrebâillement de la porte, referma la porte, puis la réouvrit. Elle répéta ce geste une bonne dizaine de fois, se concentrant à chaque fois plus sur le son infernal que produisait les gonds en fer. Finalement elle abandonna : ce bruit ne la rappelait absolument rien, et insister ne servirait probablement pas à grand chose. Le jardin avait une plus grande étendue que le manoir et possédait une particularité non négligeable : il était arrangé selon un modèle britannique et ne possédait aucune des caractéristiques d'un jardin japonais. Ses eux se portèrent immédiatement vers d'immenses haies touffues de roses blanches qui semblaient ne pas avoir été taillées pendant un long temps. Chose encore plus intrigante, a côté de ces haies de roses figuraient de somptueux buissons taillés à la perfection et représentant soit des animaux, soit de fameux chefs de guerre. On reconnaissait assez aisément Napoléon grâce à son couvre-chef - chose étonnante, car les anglais ont tendance à haïr cette personne - mais aussi Sir Winston Churchill.

Au milieu de ce jardin, dans l'alignement de l'immense portail et du manoir, et entouré d'un petit bassin dont l'eau avait croupie et où les bactéries avaient proliféré, formant une épaisse couche verte sur la roche, trônait une immense statue de pierre représentant un ange à la coiffe touffue et qui semblait se lamenter dans la plus grande souffrance. Il avait les coudes posés sur ses genoux et enfouissait son visage entre ses mains, dans une expression suggérant le regret et la douleur. Sur le marbre qui figurait au pied de la statue, on pouvait lire en gravure d'argent ces mots : "Pardonnez moi mon père, car l'étoile du matin ne brillera plus sur les cieux, mais sur Terre." - Hêlel. Sciera s'arrêta un instant au pied de la statue et passa délicatement ses doigts sur la gravure. Même si elle n'avait aucun souvenir de celle-ci, cette statue provoquait chez elle une certaine forme de nostalgie ainsi qu'un léger pincement au cœur. Elle savait qu'elle avait déjà été en contact avec cette statue, ou du moins une statue similaire. Elle en était persuadée, mais était incapable de s'en souvenir. Une chose était certaine : cette statue avait un lien avec son passé, et elle comptait bien savoir quoi.

Elle s'assied quelques instants sur le rebord du bassin, une heure, ou peut-être même plus... Finalement, attendre ici ne servirait à rien, car elle avait beau essayer de s'en souvenir, rien ne jaillissait de sa mémoire. Elle se pencha au dessus du bassin et observa pendant de longues minutes son reflet. Elle avait la mine d'une personne rongée par le désespoir et la tristesse, tout comme la statue. Ses yeux étaient rouges et son visage blême. Au bout de ces quelques minutes de contemplation, elle se leva et se dirigea vers le portail; c'est à ce moment-là qu'elle eu un refoulement de souvenirs. Le temps d'une seconde, elle divagua, et dans son malaise elle entendit l'écho lointain d'une voix étrangement grave s'adresser à elle. Elle ne se souvient pas exactement des paroles que cette voix avait prononcée, à l'exception d'une phrase qu'elle n'avait pas comprise. "Lorsque Lucifer sera au Zénith, alors tu comprendras." Que pouvait vouloir dire cette phrase? Et qui pouvait être Lucifer? Elle s'évanouit.

Elle se réveilla en sursaut en découvrit au dessus d'elle un ciel qui était recouvert par les nuages et pleurait des larmes de crocodile. Combien de temps avait-elle dormi? Et que s'était-il passé au juste pour qu'elle s'évanouisse? Elle se souvenait vaguement de cette voix qui semblait encore résonner au fond d'elle, ainsi que des quelques mots qu'il avait prononcés tels que Lucifer, ou encore Zénith, mais rien d'autre... Elle serrait dans sa paume gauche un objet assez particulier qu'elle ne se souvenait pas avoir tenu entre ses mains avant son évanouissement. Il s'agissait d'un morceau de métal - probablement du fer ou du nickel - d'une épaisseur de 5mm, possédant une fente en son milieu et représentant un soleil avec des rayons incurvés. Sur la tranche du métal était gravé en lettres minuscules et dans une langue qu'elle ne connaissait pas ces mots : "Flammas eius lucifer matutinus inveniat: ille, inquam, lucifer, qui nescit occasum". Même si elle ne comprenait pas la langue, elle arrivait à la prononcer plutôt correctement, bloquant parfois sur certains mots. Elle fourra le morceau de métal sous sa robe, au niveau de la poitrine. A quoi est-ce que cet objet pouvait bien donc correspondre? Elle semblait l'avoir aussi déjà vu quelque part, mais où? Fatiguée et lasse de chercher, elle alla se coucher.

Elle se réveilla d'une heure bien matinale le lendemain matin. Le soleil commençait à peine à se lever et les oiseaux n'avaient pas encore entamé leur parade matinale; si bien qu'on entendait encore les bruits nocturnes résonner dans le manoir. La veille, juste avant de se coucher elle avait compris quelque chose : ce manoir n'était habité par personne d'autre qu'elle, autrement quelqu'un l'aurait retrouvée étalée sur le sol. Mais qui donc avait bien pu pratiquer la taille de ces buissons? Tout semblait encore si récent, comme si quelqu'un d'autre habitait avec elle, quelqu'un qui serait invisible à ses yeux tout comme elle le serait aux yeux de cette personne... Dans ce cas, cette personne n'était qu'une illusion et ne pouvait exister... A moins que ce ne soit elle qui n'existait pas... Aujourd'hui, elle irait visiter l'étendue urbaine qu'elle pouvait entre-apercevoir au loin. Cette ville devait certainement être liée à son passé, et elle y trouverait certainement quelques éléments de réponse, à défaut de retrouver toute sa mémoire. Si elle s'était réveillée dans ce manoir, ce n'était certainement pas une coïncidence. Deux heures plus tard, elle referma avec difficulté l'immense et lourd portail cuivré du manoir et prit la direction de la ville. A pied, il lui faudrait compter deux ou trois heures pour l'atteindre et si elle se pressait elle devrait pouvoir y arriver en une heure et demi. Mais elle n'avait aucune raison de se presser, son passé saurait l'attendre.

Arrivé en ville, elle jeta quelques regards à toutes les infrastructures qui l'entouraient. Elle ne se remémorait de rien... Questionner les gens serait une bien meilleure solution pour savoir si quelqu'un se souvenait d'elle. Mais elle n'osait pas aller vers les gens, de peur de les déranger ou bien que ceux-ci se souviennent d'elle comme d'une personne sans cœur. Mais la véritable raison pour laquelle elle n'allait pas vers les gens étaient que ceux-ci ne l'inspiraient rien; même si elle ne les avaient pas questionnés, elle savait pertinemment que ceux-ci ne la connaissaient pas et qu'elle perdrait du temps et aurait plus l'air ridicule qu'autre chose. Elle arpenta les rues durant toute la journée, scrutant chaque bâtiment, chaque objet, chaque échoppe, chaque personne qu'elle rencontrait... Mais rien de tout cela ne l'inspirait. Le soleil commençait maintenant à effectuer une lente descente par delà les montagnes, et elle ferait mieux de rentrer si elle ne voulait pas passer la nuit entre deux immeubles ou sur la route. Lorsqu'elle atteint la bordure de la ville et s'apprêta à s'en aller, elle eût une drôle de sensation qui semblait lui dire de retourner en ville.


Comment avez vous connu le forum ? : Un certain Lilao

Présentation issue du forum : http://bleach-ultimate.com
Pour certaines raisons, je pense que je n'arriverais pas à faire correctement évoluer mon personnage dans ce forum; mais ne souhaitant pas le changer, je vous rejoint ici...

Bon... J'abandonne cette présentation finalement...
Le forum n'est pas assez actif selon moi...

D'un certains coter tu n'a pas tort.
D'un autre les gens ont leur vie et on est en période de fêtes..

Je vois que j'n'ai encore pas posté ici. Je te souhaite donc bienvenue. Malgrés ton dernier message.

Bonsoir et bienvenue,

Avec du retard certes, période de noël oblige...

Dois-je donc considérer un abandon ?